Le libertin sans éviter ces espaces publiques, se dirige plus haut, monte à l’étage, et gagne une des extrémités, au calme, loin de l’agitation des open-space du rez-de-chaussée. Il y a dans cette grande maison une ou deux pièces qui sont closes et (...)
Ce jour-là, je sortais du boulot et tombais nez-à-nez avec mon meilleur ami. Le genre de gars de qui l’on peut dire qu’il connaît tout de nous et avec qui nous avons fait les quatre cents coups. Rencontre impromptue et plaisir des retrouvailles, je (...)
Au volant de ta voiture, tu as été surpris, excité même, de me savoir occupée dans cette cuisine où je n’ai jamais le temps ni l’envie de mettre les pieds et tu m’as demandé si, comme Jessica Lange dans Le facteur sonne toujours deux fois, je n’étais pas (...)
Le plus souvent, j’imaginais que je réceptionnais une livraison du supermarché. Je connaissais bien les livreurs. J’étais à la fois attirée par leur virilité un peu brute, et un peu dégoûtée, car je ne m’imaginais pas une seule seconde tomber amoureuse de (...)
Elle n’eut pas l’air de se soucier de l’inconfort de ma situation. Sans doute avait-elle autre chose en tête. Son visage s’enfouit contre mon épaule. Boucles noires baladeuses et vivantes qui venaient me chatouiller le nez, me donnant l’envie de me (...)
Rêver entre ses mains pour à jamais me perdre, abandonner ma fièvre à la torpeur agressive d’un bar de quartier, l’inviter à me suivre dans un coin retiré... sentir ses mains glisser sous ma jupe étroite, déchirer mon chemisier de soie sous les pales (...)
Il a à peine bougé, cheveux en bataille, s’est un peu tourné sur le dos, abandonné, un bras ouvert, l’autre replié sur la poitrine, juste à la limite de ce creux émouvant qui se creuse sous les côtes. Je suis le cheminement de son souffle depuis sa bouche (...)
Assis au grand bureau sombre, il est au téléphone, et d’un geste me fait signe de m’asseoir. M’asseoir ? Pas de risque, je ne tiens pas en place… Je dépose mon manteau et mon sac sur un fauteuil, je fais le tour de la pièce à pas lents. J’allume une (...)
Mon mari travaille dans son bureau à la maison. Un jour, je suis rentrée dans son bureau sans frapper et je l’ai surpris à genou face à son ordinateur portable, en train de se masturber. Plutôt surprise, j’ai refermé la porte comme si je n’avais rien (...)
Lui, c’était cet ami d’enfance que j’avais retrouvé sur Internet 3 mois auparavant. Amoureux de moi lorsque nous avions 20 ans, il n’avait réussi, à l’époque, qu’à m’arracher à la dérobée un minuscule baiser. 20 ans après, nos retrouvailles avaient été à la (...)