Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)


Wonder Woman

Avant & ailleurs

Wonder Woman

Les femmes n’ont pas plus de super-héroïnes sur lesquelles se construire et se projeter, que de pornographie pour veiller sur leur libido. Il y en a une, à laquelle de nombreuses féministes actuelles se raccrochent lorsqu’il faut trouver des (...)

Mais encore...

Les films X seront-ils un jour à l’écoute des désirs féminins ?

La pornographie boucherie : un constat. Si dans le cochon tout est bon, force est de constater que sur les étalages du commerce ne sont présentées que certaines parties de la bête, en quantité industrielle, souvent les mêmes, grossièrement accommodées, autant d’orgasmes vite emballés, vite consommés. En effet, le temps de visionnage d’un porno aujourd’hui serait à peu près égal au maximum à celui à la cuisson d’une pizza au four (12 min*), et au minimum —avec la Junk-video sur Internet et depuis que YOUTUBE a des équivalents pornographiques tel que REDTUBE— égal au temps de formation du pop-corn dans le micro-ondes (1 min 30). Certains n’hésitent pas à parler de la pornographie comme boucherie mondiale, employée à acheter-vendre des corps, à les démembrer pour livrer leurs morceaux (visages, culs, sexes, seins…) au consommateur, un morceau pour une scène (fellation, sodomie, double pénétration, éjaculation faciale…). Ce qui différencierait ces « pièces de viandes » entre elles seraient des qualités (jeunes, matures), des origines (asian, indian, russian), des races (black, blancs, beur et beurette), des modes de dressage (amateur, pros). Enfin, il semble y avoir des recettes à succès pour mélanger ces corps, pour lesquelles chacun ses goûts (straight, gay, plans à trois, orgies), ainsi qu’un choix standard d’assaisonnement (soft, hardcore, extreme)…

Pourquoi (pas) le porno ?

En marge du Paris porn fest, était organisée une journée d’étude sur les pornographies et post-pornographies contemporaines. Un panel d’intervenantes(1) étaient conviées à parler sur le thème "Je suis féministe et je fais du porno. Pourquoi pas vous ?" Compte-rendu et analyse.

L’extase et le miroir

A l’origine, c’est-à-dire en 1910, la journée de la femme permettait aux femmes de revendiquer certains droits et également de fêter ensemble leurs victoires. L’une des victoires qui reste encore essentielle à gagner, c’est la victoire sur nous-mêmes. (...)