Inside Man
Le 06/10/2009
La première fois que je l’ai vue, elle était assise sur une banquette, l’air d’ignorer le monde qui l’entourait, les yeux fixant un coin précis de la salle… Un coin qui ne donnait sur rien.
Elle portait un simple jean et un débardeur noir imprimé, au dos une fillette… le tout cassé par des talons vertigineux. Elle ne ressemblait à aucune autre fille présente, une taille déjà démesurée, un cul à tomber, une poitrine étroite et des bras menus et aucun sourire sur son visage ovale.
Quand je me suis assis à côté d’elle, elle a planté ses yeux de chat dans les miens, l’air de se demander ce que je faisais. Elle m’a évalué, a regardé en bas, timide d’un coup, comme si le glaçon avait fondu. A ce moment-là, je savais qu’elle était pour moi ce soir.
Je l’ai ramenée, comme un petit chaton à son maître… Elle s’est assise sur mon lit, me souriait… Elle m’a dit : “Tu sais, pour séduire un homme, il suffit de lui faire croire qu’il est plus intelligent…” avec une fossette et des yeux encore plus étirés et brillants.
A ce moment-là, j’ai su qu’elle m’avait eu aussi…. Je l’ai embrassée en posant ma main sur sa nuque… Elle était un petit peu moite, sous les cheveux. J’ai serré un peu plus mes doigts sur sa tignasse noire en la couchant sur le lit. Elle sentait bon… Je la touchais et je sentais sa minceur par-dessus ses vêtements. J’ai mis la main sur sa hanche, effleurant ses côtes, elle se souleva un peu et passa sa main sous mon tee-shirt. Je commençais à bander.
J’ai déboutonné son jean, dans le silence, tandis qu’elle enlevait le haut. Elle portait un tanga de dentelle noire. Sa peau était la plus douce que j’ai jamais touchée. En sous-vêtements, elle semblait encore plus fragile.
Elle s’est levée, m’a poussé sur le lit et a entrepris de me déshabiller. Le spectacle qui m’était offert me fit durcir définitivement : elle avait le plus beau cul que j’avais jamais vu ! Un dos cambré, des fesses rebondies et douces comme ce n’était pas permis.
Elle s’est agenouillée devant moi, m’enleva mon pantalon… A commencé doucement à caresser l’intérieur de mes cuisses, tout en enlevant son soutien-gorge… Je la trouvais lente, je n’avais qu’une envie, l’attraper et la pénétrer. Elle me caressa par-dessus mon caleçon de façon de plus en plus pressante… Puis elle le retira.
Elle avait un sourire insaisissable, consciente de mon impatience… Elle me suçait, lentement au départ, prenant bien toute ma queue. Je me suis abandonné et je me suis juste mis sur les coudes pour la regarder. Elle fermait les yeux… Je la trouvais magnifique à ce moment-là, sa peau blanche, ses tout petits tétons durs… Puis elle les a ouverts en se concentrant sur mon gland, juste pour regarder l’effet que produisait sur moi ses petits coups de langue énergiques, pendant qu’elle massait mes couilles… Elle recommença à l’engloutir…
Je l’ai prise sous les bras, pour la relever, et elle s’est mise à genoux, par terre, le torse appuyé sur mon lit. Je passais ma queue dans l’élastique de son tanga, jouait avec ses fesses qu’elle balançait d’avant en arrière… Je titillais son clitoris à travers le tissu et je sentis qu’elle commençait à mouiller.
J’ai baissé le ridicule bout de tissu, j’ai caressé sa peau avec mon sexe, l’ai tapoté et je l’ai passé sur le sien, humide, chaud, prêt à être possédé, quand elle l’a pris dans sa main, se retournant pour me voir, et le dirigea en elle, en prenant bien soin de décoller ses lèvres au ralenti…
J’ai commencé doucement à la prendre, forçant un peu le passage étroit, qui s’ouvrit peu à peu que l’excitation montait en elle. Elle se caressait en même temps que j’allais et venais dans son corps, cela m’excitait d’autant plus que j’avais pleine vue sur des fesses magnifiques.
Je me cramponnais à ses hanches, tapant un peu plus fort, en même temps qu’elle me le demandait, elle se cambrait, grognait… Je l’ai prise sous le ventre, mis une de mes mains sur un de ses seins pour l’amener contre moi, et je continuais… Doucement, puis plus rapidement pour sentir mes couilles claquer sur le haut de son sexe… Je crois que ça l’excitait encore plus, elle m’accompagnait dans mes mouvements, mon visage dans ses cheveux…
Et puis je l’ai sentie s’abandonner, tressaillir, et pousser un cri de plaisir, sans retenue, la tête en arrière, elle faisait toujours aller son cul contre mon ventre, jusqu’à ce que je pousse moi aussi un râlement de jouissance.
Elle qui avait été si sauvage, s’est recroquevillée sur le lit, en m’entraînant contre elle pour que je la prenne dans mes bras dans ce qui allait être une nuit blanche… et torride.
(cc) » Zitona «
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