Impromptu - 2

Le 04/11/2009

Précédemment…

Malgré – grâce à ? – l’exiguïté de l’endroit, j’explorai la peau d’ébène frissonnante de ce nouvel amant. Ses lèvres étaient d’une douceur que je n’avais jamais explorée de par ma bouche. Sa peau sentait le musc, le bois exotique, et cela m’enivrait. Après avoir déboutonné sa chemise, je me mis à glisser mes mains dans son pantalon pour caresser ses fesses à travers son slip. Nous restâmes de longues minutes à nous embrasser et nous caresser de la sorte.

impromptu2.JPGC’est alors qu’il remonta ma jupe et dévoila devant lui mes bas et ma culotte de dentelle. Il défit prestement son ceinturon pour laisser descendre son pantalon sur ses chevilles. Je vis alors, à travers le slip, une très belle érection. Les légendes que j’entendais enfant, lorsque je vivais au Soudan et au Sénégal, étaient donc vérifiées. Ravie, je passai ma main sur cette hampe qui se dessinait et battait à tout rompre…

Je me surpris alors à glisser ma main dans son slip. Sa verge était longue, de fort belle largeur et extrêmement douce. Je le caresse ainsi, tandis qu’il entreprend d’écarter ma culotte pour goûter à ma fente qui s’humidifiait sous l’effet de la situation. C’est alors qu’il m’allongea et me dit :

- Madame, permettez-moi de défaire vos chaussures. Je suis un fétichiste des pieds. Vos chaussures me rendent fou, et je suis persuadé que vos pieds sont magnifiques…

Interloquée par cette demande, je me laisse faire. Il défit mon escarpin, le pose délicatement et me baise le pied. Puis il déroula délicatement mon bas. Je ressentis alors un frisson des plus exquis, conquise par tant de sensualité. Il se mit alors à me lécher et suçoter les orteils avec adoration. J’aime cette sensation, j’ai l’impression de le soumettre…

Il sortit alors un préservatif de sa poche et l’enroula sur sa verge tendue. Il s’allongea sur moi et commença à me taquiner les lèvres avec son gland. J’étais alors au bord du supplice. Je lui donnai quelque coup de rein pour le faire me pénétrer. Il ne semblait pas vouloir être accueilli derechef en moi. Il s’occupa d’abord de mes seins pointus, qu’il suçota de la même manière que mes orteils. Ce fut délicieux, mais je réprimai un gémissement qui aurait trahi notre présence aux habitants de mon immeuble…

Je lus enfin dans ses yeux le désir, tout en restant sur le qui-vive à chaque passage d’une personne. Il s’enfonça enfin entre mes reins, ce que je ressentis comme une délivrance. Il me prit d’abord de manière très douce, très calculée. Je l’embrassais pour éviter de crier mon bonheur… Puis ses coups de reins se firent plus francs, plus rapides, moins calculés… La jouissance était proche pour nous, et nous la partageâmes dans un baiser enivrant…

Repus, nous nous endormîmes l’un sur l’autre. Malgré tout, je veillai sur mon amant d’un œil averti. Lorsqu’il se réveilla une heure plus tard, il me lança son plus grand sourire. Nous nous embrassâmes et nous caressâmes une dernière fois, avant que je le congédie dans la plus grande discrétion.

En rentrant chez moi, j’étais grisée, comme ivre. C’est alors que je pris cette résolution : désormais, à l’instar d’une garçonnière, j’accueillerai mes amants dans un petit boudoir. Ainsi, je pourrais revivre indéfiniment ces rencontres impromptues…

(cc) shotbart

Cet article est repris du site http://ladiesroom.fr/2009/10/03/imp...

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