Alexandre - 1

Le 08/12/2009

Troublée par mon entrevue avec François, je me posais des questions sur mon avenir avec Alexandre. Car après tout, il avait accepté que je reste son épouse malgré le diagnostic de ma stérilité, même si la fougue avec laquelle il me besognait n’était plus là. Et moi-même, même si d’autres hommes me faisaient saliver, je ne pouvais concevoir ma vie sans celui que j’avais épousé 4 ans auparavant.

alexandre1.jpgCe soir-là, je m’étais comme à mon habitude sagement revêtue de ma chemise de nuit, quand Alexandre enfilait son sempiternel pyjama. Nous n’avions pas fermé les volets, mais Alexandre tombait de fatigue. Il s’endormit donc très vite. Le réverbère à travers la fenêtre l’enveloppait et redessinait ses traits, et cela m’émut.

Je vis Alexandre sous un angle différent, presque angélique. Ses traits relâchés, il ressemblait à un enfant dans les bras de sa mère. Je restai un moment ainsi à le contempler, comme envoûté par cette candeur qui se dégageait de ses yeux clos. Je fis ce constat : contrairement aux autres hommes, j’avais complètement oublié d’érotiser mon mari. De lui donner une contenance sexuelle. Il devait remplir son contrat nuptial, point barre.

Je me surpris alors à voir ce qu’il y avait sous ce fameux pyjama. Car voir Alexandre nu n’était pas courant. Tout au plus, je le surprenais sous sa douche… Je défis alors un bouton, puis deux… Et je glissai ma main sur son cou, sur sa poitrine. Sa peau était presque imberbe, très douce. En même temps, je l’embrassai dans le cou.

Sa réaction tardant, je me suis mise à défaire tous les boutons de son pyjama pour me retrouver devant son torse nu. Il était beau, sec et nerveux, et je ne pus m’empêcher d’embrasser cette peau lumineuse qui s’offrait à ma main. Je le couvris de baisers et de caresses jusqu’au bas de son ventre, où son pantalon de pyjama commençait à porter la marque physique de l’émotion que lui provoquaient mes caresses.

Impatiente, je glissai une main à travers l’élastique. Enfin je touchais le sexe d’Alexandre. Il était de taille moyenne, mais d’une incroyable douceur. Je caressai tranquillement la hampe qui s’érigea de plus belle, tout en descendant de temps en temps vers ses parties… Je le sentis palpiter sous mes doigts. Je profitai alors de ce consentement tacite pour glisser la verge hors du pantalon et de jouer avec ma langue sur son gland turgescent…

C’est alors qu’il alluma la lumière et dit d’un air effrayé : Mais Vanille, qu’est-ce que tu fais ?

À suivre…

(cc) Leanne Surfleet

Cet article est repris du site http://ladiesroom.fr/2009/11/30/ale...

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