L’amour n’est rien…

Le 28/10/2010

“Quand c’est politiquement correct….” Et l’amour avec toi, my love, est tout sauf politiquement correct… Te souviens-tu ? (non, pas d’un slow, 10 ans plus tôt….) Nous revenions de vacances à peu près à la même époque. Nous étions heureux, détendus, nous venions de faire une de ces séances shopping marathon dont nous avions le secret. Et nous nous sommes retrouvés dans la voiture.

Je portais ma mini-jupe en jean noire et mon tee-shirt Beth Ditto. Et j’ai eu très très chaud tout à coup… J’ai enlevé le legging que je portais. J’ai ouvert les jambes et me suis passée un doigt dans ma fente déjà humide… Tu m’as ordonné, avec ce mélange d’autorité et d’indifférence qui me rend folle d’enlever ma culotte. J’ai obéi avec empressement. “Ecarte les jambes.” J’ai obéi de nouveau. Aucune envie de résister. Nous remontions du Perthus à Périgueux. Une sacrée route. Tu bandais. J’étais trempée. Quand tu me l’ordonnais, je passais mes doigts entre mes jambes.

“Lèche-les.” Protester ? Je n’y songeais même pas. Dans ces moments uniques, je te considère comme mon maître… Toi qui trouves cette appellation stupide et caricaturale. “Pour qui ils se prennent, les mecs ?” m’as-tu demandé un jour, mi-agacé, mi-ironique. J’ai léché mes doigts. Je me suis exhibée tout le long de la route avec bonheur, comme la chienne en chaleur que je deviens dans ces moments. Tu m’as avoué ton désir de me voir percée… dans un endroit précis, évidemment ! J’ai gémi sous tes caresses que, sadique que tu es, tu arrêtais au moment où tu sentais que j’allais jouir. Je me suis soumise à toutes tes volontés sachant que j’allais “payer” cette indécence arrivés à l’hôtel.

Et ça a été le cas. Je me suis déshabillée, allongée sur le lit (nous n’avons vu que lui, n’avons pensé qu’à lui) et tu m’as retourné et collé une bonne fessée en me traitant de “sale pute allumeuse” ce qui a mis le comble à mon excitation. Tu as sorti ta queue en érection en m’ordonnant sèchement ‘”suce salope”. J’ai obéi. A genoux. Toi seul sais comme j’aime sucer à genoux. Et pas seulement parce que c’est nettement plus pratique… J’ai mis ta queue si dure entre mes seins. Pour me punir, tu m’as sodomisée. J’ai gémi et me suis retenue de crier.

Je me suis intégralement soumise à tous tes désirs. J’étais ta bonne à tout faire sexuelle. L’esclave de ton plaisir. Je ne t’ai refusé qu’une éjaculation faciale. Mais franchement, c’eut été gênant pour la femme de ménage. Cette fantastique soirée de baise t’a fait délirer pendant un an. Une année horriblement difficile où le shopping a remplacé le sexe. Et au mois d’août, nous avons regardé “les vies privées de Pippa Lee….” Blake Lively, attachée, fouettée, tenue en laisse….. Elle nous a inspiré. A relancé la machine. J’étais de nouveau ta putain, ton esclave sexuelle, ta chienne consentante. Et j’ai très très envie de continuer à l’être.

Je suis soumise dans ma sexualité. Le sexe classique m’ennuie. J’aime être prise sans égards, j’aime être insultée, j’aime les ordres que tu me donnes, j’aime être un jouet entre tes mains. Je suis une emmerdeuse dans ma vie de tous les jours, une soumise dans ma vie sexuelle. C’est ainsi. Et toi, tu as compris ça. Et tu apprécies. Et j’espère que ça continuera.

(cc) Connieth

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