François - 3
Le 23/11/2009
François, malgré son désir, demeura interdit, il ne sut que faire. Je me retournai alors et m’assis sur lui. Je pris ses mains et les dirigeai vers ma poitrine nue. De suite, il titilla mes tétons dressés par le désir. Je sentis contre moi sa verge tendue à vouloir déchirer les barrières de textile qui la séparaient de mon sexe. Je m’habituai à cette présence émouvante en ondulant mon bassin au-dessus du sien. Je sentis ainsi sa verge glisser sur ma fente et cela m’électrisait.
- Tes seins blancs, Évangéline… J’ai tellement rêvé de les toucher, de les caresser…
- Chuuuut. Trêve de bavardage, François.
En guise de réponse, il prit un sein et le porta à ses lèvres. Il était tel un enfant assoiffé qui trouve enfin le lait de sa mère. De son autre main, il souleva ma jupe et titilla mes lèvres brûlantes. Je gémis, je haletai… Il me déposa sur le parquet, enleva ma jupe… J’étais totalement nue devant lui, à l’exception de mes bas et de mes chaussures.
Il plaça alors sa tête entre mes cuisses. Son souffle parcourut mon pubis, puis se glissa dans ma fente. Je sentis alors sa langue pointer, parcourir timidement mon clitoris. Je me crispai sous l’effet du frisson qui me parcourut.
Puis sa langue se fit plus hardie, plus insistante sur mon clitoris turgescent et sur ma fente trempée. Je pris sa tête pour l’encourager… Il écarta enfin mes lèvres pour aller de plus en plus profond en moi. Je tremblai de tout mon être, je sentis des vagues de plus en plus fortes m’envahir… Jusqu’à la libération finale où je me sentis me liquéfier.
François remonta alors vers mes seins, les embrassa, puis s’allongea à côté de moi.
- Évangéline, ma chérie, je t’offre cet appartement, pour que tu m’offres tes plus belles jouissances…
À suivre…
(cc) dhammza
Cet article est repris du site http://ladiesroom.fr/2009/11/16/fra...
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