Gisela, André et moi

Le 28/01/2011

21h. Je l’attends au bar de l’hôtel.

Comme je suis un peu nerveuse (je n’ai jamais fait ça), je bois un verre de vin blanc, très bon d’ailleurs. Le bar est assez vide, quelques hommes d’affaires ici ou là, guère plus. Je devrais pouvoir la reconnaître facilement, elle est blonde, à mon avis à peine une vingtaine d’années. Je l’ai choisie sur un catalogue en ligne, elle avait l’air d’avoir une spontanéité rafraîchissante. J’ai envie et j’ai le trac aussi.

Tout à l’heure, j’étais dans la chambre de mon chéri, la 405. Il m’a donné 1500€ pour que je la paie, à 500€ de l’heure, ça fait trois heures. Une heure où je l’aurais pour moi toute seule, et ensuite il nous rejoindra, après son dîner de boulot. Comme beaucoup d’hommes, il fantasmait depuis longtemps sur cette idée à trois, et j’en avais bien envie aussi, à la seule condition que ce soit une pute, pour éviter les sentiments. C’est là que ça l’a rebuté pendant assez longtemps. Il aurait voulu que ça se passe naturellement, avec une amie par exemple.

La voilà. Je lui fais un signe, elle s’approche, elle est terriblement nerveuse. C’est la première fois, me dit-elle. Pour payer ses études. Elle boit un verre de vin blanc comme moi, me raconte sa vie d’étudiante, ses envies professionnelles, elle est toujours aussi nerveuse, on boit un deuxième verre. J’envoie un texto à mon chéri, pour lui dire qu’elle est parfaite, qu’il peut commencer à fantasmer pendant son dîner, nous n’allons pas tarder à monter dans la chambre.

Je commence par la payer, c’est la règle. Elle recompte les billets et ça m’excite. Ça m’excite de payer quelqu’un pour me faire jouir, ça m’excite que le montant soit si élevé, ça m’excite que mon chéri m’ait donné cette somme pour jouir. Elle passe à la salle de bains, fait de longues ablutions et revient un peu gauche, je sens que c’est à moi de prendre toutes les opérations en main, elle est payée pour être à mon service. Je la déshabille, l’embrasse, la couche sur le lit. Ses seins sont si petits, dommage. Mes mains courent sur son corps, la caresse, elle a la peau douce. J’attrape un tout petit vibro de voyage et commence à le passer sur son clitoris, je crois que j’ai besoin d’un objet entre elle et moi, pour démarrer. Comme ses seins, son clitoris est tout petit. Je la fouille, elle gémit de plaisir, mais elle est payée pour gémir. Allez savoir ce qu’elle en pense vraiment, de faire l’amour avec un couple qui a probablement 30 ans de plus qu’elle... Elle se libère un peu, suce la pointe de mes seins, descend le long de mon ventre en faisant courir sa langue. La chatouille m’excite. Elle arrive sur mon sexe, glisse un doigt ou deux dans ma chatte humide et suce longuement mon clitoris. C’est très, très bon, elle fait ça en prenant son temps, elle a l’air d’aimer, mais je n’arrive pas à jouir. Ça serait plus excitant s’il était là, à regarder avant de participer. C’est son œil lubrique qui m’excite plus que tout. Soit son dîner est en train de s’éterniser, soit c’est moi qui trouve déjà le temps long.

A mon tour, je descend sur son sexe, il a un petit goût de citron, probablement un produit qu’elle a utilisé à la salle de bains. Dommage, le goût est aussi chimique que celui d’un bonbon Haribo, mais j’apprends à oublier, lèche tout son sexe, le mordille aussi, glisse mes doigts partout, je sens qu’elle aime. La complicité s’installe, chacune joue sa partition sur le corps de l’autre, elle toujours à l’écoute de mes envies.

Il est presque 23h quand il arrive enfin. Je suis si impatiente que je le prive du moment où il voulait s’asseoir sur un fauteuil et nous regarder faire, pour laisser monter son excitation. Je le déshabille, le somme de nous rejoindre et à deux nous lui faisons une belle et longue pipe, nos instincts hétéro ont repris le dessus. Mais nos langues se croisent, se touchent, s’emmêlent, se disputent le gland, courent sur la hampe, les couilles, c’est très excitant de faire ça à deux. J’ai envie qu’il la baise, je me glisse sous eux, pour tout voir en gros plan, pour pouvoir les caresser et les lécher pendant qu’il la pénètre. Mes doigts enserrent sa queue, ma langue court de son anus à lui vers son clitoris à elle, et je sens que ça y est, je m’emballe, j’atteins enfin le stade où je bascule dans un autre monde, n’ai plus aucune retenue, ne cherche rien d’autre que l’obtention de mon plaisir, de ma jouissance, de toutes les manières possibles et sans limitation. Peut-être est-ce l’effet de la capote, mais ça ne l’excite pas assez pour jouir, il préfère me baiser moi, et la délicatesse de l’intention m’excite encore un peu plus. Ils sont les deux dédiés à mon plaisir, et je n’essaie même plus de comprendre qui me fait quoi, je sais simplement à quel point c’est bon, je voudrais que ça dure encore une vie entière. Il y a des mains, des langues et une queue qui s’activent sur toutes mes zones érogènes, les rares barrières que je peux avoir en matière de sexe ont toutes sauté, je m’excite autant à sucer son cul à lui, à essayer de le pénétrer de ma langue, qu’à mettre les doigts dans tous ses trous à elle, indifféremment, pendant qu’ils m’achèvent à force de me faire voir des étoiles partout, à force d’orgasmes à répétition.

Ils n’ont pas dit leur derniers mots. Je suis là, allongée au centre du lit, épuisée, et elle est encore là, à genoux devant le lit, à sucer mon clitoris qui s’offre à elle, tandis que lui effleure et suce très délicatement la pointe de mes seins. J’adoooooore. Encoooooore.

C’est elle qui met fin à tout. Elle file à la salle de bains, encore, longuement. On attend son départ pour tout commenter : ses seins, son clitoris presque atrophié, son sexe si grand, nos excitations, nos meilleurs moments. Je m’endors collée derrière son dos, j’aime l’odeur de sa peau.

A peine deux heures plus tard, il se réveille, me réveille : il a une érection massive et une énorme envie de me baiser encore, de m’enculer.

Je ne me doutais pas de ce que le meilleur restait encore à venir.

[gris]Mmm[/gris]

© Zeit4men - Fotolia

Commentaires (4)

  • Didon

    Je voudrais surtout savoir comment on fait pour payer une femme, une étudiante comme celle-là. D’autres voies que l’Internet ?

  • André2

    Les filles aussi dont excitées à l’idée de payer des putes ? Bonne nouvelle ! on va pouvoir partager

  • Bluette

    Avec mon chéri nous pratiquons aussi régulièrement le trio FFH. A chaque fois nous prenons un plaisir particulier que nous partageons à trois mais sans payer...

  • PjHSlYHzLMkXRhiGimF

    raaja maahaarajarugaligoo ee paati daphra iralaraadu anta annisutte. Avonobba Kumara, ivonobba Ramachandra .Mattobba Acharaya Yaaroo Sari illa Saa EE BJP sarkaaradallantoo ellaroo (ondibbarannu bittare) Deekeshiya hale avataarada tadroopa shishugalu Atta aadalitadalli anubhavanoo illa itta bhauddhika-Manasika maturitynoo illa Anda haage ondu kaaladalli mari paalegararante maatadutidda Deekeshi eega ontara reformed rowdy ante prabhuddhate toruttaane alwaraaa Ivarigella jana ekkadadinda baariso dina doora illaa saar Enanteeri ?