120 lieux de plaisir en Europe

Le 20/12/2010

Vous souhaitez trouver un Love hotel à Barcelone, des fouets d’artistes à Copenhague, de la joaillerie érotique à Milan...le livre 120 lieux de plaisir en Europe est pour vous.

L’auteure Erika Lust, aussi connue pour ses réalisations de films porno que pour sa curiosité en matière de sexe, nous livre ici ses meilleures adresses. Testés et approuvés par ses soins, les lieux sont très variés on rebondit d’hôtels aux chambres suggestives en librairies érotiques, de boudoirs sex shop en soirées fétichistes les plus courues ou encore de plages de nudistes en restaurants aphrodisiaques...


Un guide qui donne envie de voyager pour aller traquer à travers l’Europe des bibelots sexuels, se pâmer d’envie dans les nouveaux cabarets ou débusquer un corset so british.


120 lieux de plaisir en Europe d’Erika Lust, Ed Femme Fatale, 17,95€, décembre 2010, 248 pages.

Commentaires (3)

  • Imprimée

    Je l’ai feuilleté dans une librairie. Sympathique. Et belle couv.

  • HSGgeEgQZlxdZuX

    It’s much esaier to understand when you put it that way !

  • XmyYkSOiThiJvvqDW

    dit :Le boulet iaoiclsste au pied d’un marchand de parapluie : sortie de bouse en 2012 ?L’idiot sup rieur fran ais, qui carbure aux m dias, ne voit pas les choses, mais alors pas du tout, comme nous, les drogu s au communisme. Quand des millions de prol taires, l’appel de tous les syndicats qui pourtant pr nent l’union sacr e face la guerre conomique, d noncent l’escroquerie du si cle, concernant le salaire-retraite, si cle qui se vit, de fa on r aliste, comme un troisi me reich positif, pour avoir commenc en 2000 et non en 40, l’idiot en question, perch sur son bouclier, entend, lui, des inqui tudes ! Chose qui sonne incontestablement avec platitudes. C’est que pour cet individu l’index facile, la masse, forc ment brute et instinctive, sans doute en tant que cobaye des cow-boys du politique, au lieu de rester de marbre comme lui, sa grandeur garnie d’un ab me de r flexion, qui agit, face la vie et ses dangers, en risquant l’une et se gardant douillettement des autres, r agit m caniquement. La masse est donc un animal m canique, un automate, sans pens e propre, ni, a fortiori, de volont , autrement dit, c’est un ph nom ne de foire (l’anc tre du march ) au m me titre que la roue de la Fortune, le palais des glaces et le train-fant me de marchandises. Alors, coco, comment a marche ? Facile ! Tu mets deux balles, tu actionnes le bras et chapeau ! Cocorico ! A nous, le magot ! Cette fois, a rime richement avec d mago ! Au bout du tr s long tunnel du discours tranquillisant, rationnel, flanqu de galeries de souteneurs professionnels, qui, comme ils s’en vantent, soul vent des li vres, les vessies pr sidentielles, sous la lanterne m diatique, offrent, aux caniches de l’ tat fran ais, un asile o recycler leur infinie diablerie. Parce que, la barbarie, bien s r, c’est nous, les cr tins alpins dos d’ l phants roses.Une fois d pli , le bicorne ut rin de toute explication officielle, nous concernant, nous, les m chants abonn s aux additions totalitaires, qui saluons ici ce qui ressemble une sorte de gai calot, tr s folklo, comme un chancre spirituel ajout au cerveau humain, nous pouvons suivre les contorsions du monde-tel-qu’il-est, s’ajustant au monde tel qu’il est, selon le principe de l’hyper-m me, n anmoins autre, tout moment. Sa vision standard du monde, tant extra-large, il imite la vie avec un naturel qui d fie toute concurrence et qu’on peut r sumer comme suit : la politique, la barbe ! C’est ainsi que les Mar chal et Saroyan de l’ex cutif fran ais nous vendent leur You koun-koun, le coeur en diamant, du train des r formes-fant mes. La marchandise, en effet, n’est ni de droite, ni de gauche. Un point de vue que nous n’h sitons pas un instant, faire n tre, la condition expresse d’en rappeler la nature 100% capitaliste. Les march s sont, au final, l’unique esp ce de choses qui meut v ritablement les tats-capitalistes et leurs agents institutionnels et priv s, sans oublier, coll s eux, l’inconsistant radeau des m dus s fiscaux et autres formes molles, et pour ce, d’autant plus personnalis es. S’exprime l , mezza voce, un comique berlu par sa propre performance : l’id e que la vraie politique n’est pas politique, mais simple question de technique, gr ce quoi, elle peut s’ lever et cro tre au-dessus des parties. Et nul doute, sans besoin d’aller en prendre la mesure Saint- tienne, qu’un m tre environ s pare cette volont prof r e de n ant national et le d sir captif de la pantalonnade sous-jacente de laquelle elle mane. Au moins, cette v rit -l , grandeur nature, facilite son propre d voilement. A cela, cependant, mettons un b mol. Comme elle est la chose la plus naturelle au monde, et par l en quelque sorte, une chose insaisissable, attention n’y pas glisser et tre irr m diablement entra n adopter des postures en tout point loign s de la dignit humaine, sauf si c’est pour rire.Et donc, prendre garde n’y pas glisser, vu qu’ nouveau, la chose, certes parfum e au go t du jour, mine de rien, se pose, consiste d’abord rendre au socialisme fran ais qui, le premier, de concert, avec le Dingo toil et sa Tartine Mariole anglaise, a entrepris la d r glementation des politiques publiques, la politique publique lib rale dont il a t la fois l’abeille et l’architecte. En effet, le docteur Jekyll de la mondialisation financi re et docteur Frankenstein de la lib ralisation de l’ conomie et ses plans de modernisation et autres privatisations, le Mittelmuth de l’Europe europ enne et concurrentielle, le facteur Cheval des plans sociaux, de l’allongement et de l’intensification du temps de travail, sous couvert des 35 heures, c’est lui, d’abord ! Tout a m riterait une l gion d’honneur d’un m tre de long, la sovi tique. Mais l’actuel distributeur de m daille du m rite et commandeur du travail obligatoire est sourd comme le pot au pied de l’arc-en-ciel europ en. Riff-raff ! L’homme tout faire de la R publique a rafl la mise : avant moi, tous des p v’cons ! Comme j’ai dit, j’ai tout fait. Il les a donc touff s, ces trangl s par une indignation malpropre, c’est logique ! Franchement ! Qu’est-ce qu’on aurait fait sa place ? Pareil, of course ! Et nous allons le faire, comme dit, en 2012 : prol taires, aucune voix pour le socialisme fran ais et son tat-phare lib ral.Nous n’avons pas besoin de pr sident !D’abord retour la retraite pour tous 60 ans !Ensuite au trou, escrocs et patrons-tyrans !