Salope power, 1ère partie

Le 22/09/2012

Ce soir, mes parents m’ont invitée au resto avec un de leurs amis américains, de passage à Paris. J’imagine le type : la quarantaine, bonne situation, marié, 2 enfants... et, surtout, ayant une vie sexuelle quasiment inexistante... Pauvre chéri. On va lui montrer ce que c’est qu’une femme, une vraie, pas une mère de famille avec la culotte de cheval et les seins qui tombent. On va sortir le grand jeu : maxi-décolleté, jupe très mini, talons aiguilles, sous-vêtements sexy (même s’il ne les voit pas, il les devinera...). En prime, les ongles carmins, et la bouche assortie. Je suis d’une vulgarité sans pareil. Avec ça, s’il ne bande pas pendant tout le dîner, je ne peux plus rien pour lui, le chéri. Je suis une salope, je sais, et j’adore ça.

J’arrive dans le resto. Mes parents sont déjà là. Leurs yeux disent "C’est quoi cette tenue de pute, Laura ?", mais ils ne disent rien, pour ne pas faire de scandale en public. Je m’assieds. J’attends. 5 minutes. 10. 15. On avait dit 8h, il est 8h20... Il sait se faire désirer, le cher amour. 8h30. Mes parents regardent leur montre, agacés. Soudain, il arrive. Mon dieu ! Je n’avais pas prévu ça... Ce mec est une bombe sexuelle. 45 ans, grand, assez baraqué, les cheveux poivre et sel, les yeux gris. Je suis en train de fondre... On se lève pour lui faire la bise. Il mate mon décolleté. Un bon point. Il s’excuse pour son retard... Cette voix grave, sensuelle me donne des frissons. Il s’assied à ma gauche, et commande un verre de blanc. Je regarde sa main : une alliance me nargue. Le serveur (qui bouffe mes seins des yeux, ndlr) nous tend les menus. On commande. On parle de tout et de rien, il est très drôle et me fait rire aux éclats. "Femme qui rit à moitié dans ton lit". J’y suis plus qu’à moitié, mais je dois le lui montrer. J’ôte ma chaussure droite, et commence avec mon pied à effleurer sa jambe. Il me regarde, alors je monte mon pied plus haut. Il est à présent posé sur sa chaise entre ses jambes. Je tends le pied, et sens que le petit chéri est dans tout ses états. Que j’aimerais sentir cette bosse contre moi... En moi... J’en suis trempée. Les plats arrivent. On commence à manger. Il use de la ruse simple et efficace de la serviette qui tombe. Il la ramasse et en profite pour me caresser la jambe. Ce contact me brûle.

Au milieu du dîner, le portable de mon père sonne. Il sort pour prendre l’appel. Cela agace ma mère. Au bout de dix minutes, il n’est toujours pas revenu, et nous avons tous fini. Ma mère se lève pour "aller le chercher" (et le sermonner). Sans me regarder, John pose sa main sur ma cuisse et me dit "Je passe derrière toi. Je plaque mes mains contre tes seins. Je te pousse contre la table. Je relève ta jupe. Et je te baise comme une salope, jusqu’à ce que tu jouisses. Là, je t’encule, jusqu’au bout. Je veux que tu cries. Et là, n’en pouvant plus, je jouirai dans ton cul.". Mon string est trempé. Oh oui, je veux que tu me prennes là, maintenant, tout de suite, je veux sentir ta queue en moi, je veux crier de plaisir, je veux que tu jouisses partout, dans ma chatte, sur mes seins, dans ma bouche, partout. Je sors un stylo et un bout de papier de mon sac, griffonne dessus mon numéro de téléphone, et le lui tend. Il le range dans sa poche, et retire sa main de ma cuisse. Mes parents reviennent, tous les deux plus énervés l’un que l’autre. Ils règlent l’addition, sortons du resto, et laissons John qui part dans la direction opposée. J’en ai un pincement au coeur...

[gris]Marie[/gris]

Commentaires (8)

  • Api

    Yahaaa, très bon ! c’est quand la suite ? excellent l’idée des épisodes.

  • alice

    C’est très bon, dommage que la fin soit un peu trop crue pour moi, le je t’encule comme une salope (en gros) m’a un peu glacée... glaps

  • Cameron

    On attend la suite ;)

  • katou

    C quand la suite

  • Coquine aime les blacks

    La suite ! La suite !

  • Marie

    La suite cette semaine, mes chères lectrices ;)
    Bises,

    Marie

  • Coquine aime les blacks

    On attend...

  • Estelle

    ahahah vive le salope style,