Un peu de shopping

Le 13/07/2010

Quand vient le moment des soldes d’été, j’ai toujours envie de dépenser. Tel pourrait être mon adage. Et une fois n’étant pas coutume, j’entrainais mon cher et tendre au centre ville. Une foison de tissus de toutes les couleurs, de toutes les textures dansaient autour de nous. La foule s’amassait, à l’affût de la bonne affaire. Toute cette agitation nous tournait la tête. Si bien que j’ eus envie d’une petite pause. Une petite pause à ma façon. Une pile de vêtements sous le bras, je poussais mon ami vers les cabines d’essayage, feignant d’avoir besoin de son avis. Une fois dans le coin cabine, je le coinçais pour une petite séance de réconfort. Il méritait bien ça, après l’avoir fait courir de boutique en boutique. Je me mis à genoux, et très vite il comprit où je voulais en venir.

— Tu es sûre que tu veux faire ça là ? murmura-t-il.

— Oui, je suis sûre.

— Mais on va se faire repérer, non ?

— Pas si tu te tais.

Je sortis sa bite au dehors, et commençais mon petit rituel. Il eut un peu de mal à bander, la proximité de la foule le freinant sûrement. Mais mes efforts furent récompensés lorsqu’au bout de cinq minutes de succions intenses, la vigueur était là. Il oublia très vite sa pudeur, laissant échapper quelques râles douteux pour ceux qui tendaient l’oreille.

— J’adore tes petites pipes inopinées mon amour.

— Oui je sais, et moi de mon coté, j’adore te bouffer la bite n’importe où.

— T’es une sacrée toi.

Je continuais donc sans me soucier une seule seconde que derrière le rideau, de prudes clients avaient sonné l’alerte.

Le rideau s’ouvrit d’un coup sec, révélant aux acheteurs avides, une scène à laquelle ils ne s’attendaient pas. La vendeuse en chef nous dévisagea avec horreur. C’était donc vrai, il y avait bien un couple qui s’adonnait aux pires crapuleries dans sa boutique. Elle nous exhorta de sortir immédiatement. Je ne pus réprimer un fou rire. Dans ces grands moments de solitude autant rire. Mon ami en fit de même, et se rajusta. Je pris mes affaires, et dans une sorte de défi, je pris la décision d’acheter une petite robe, histoire de racheter notre faute. En passant en caisse, la vendeuse, nous jetait toujours cet œil réprobateur. Elle fourra la robe dans un sac avec tout le mépris du monde, tout ça sous le regard des clients encore médusés de notre inconvenance.

Nous sortîmes du magasin, le sourire aux lèvres. Nous continuâmes ainsi notre journée shopping.

En rentrant à la maison je ne pus m’empêcher de revenir sur le petit « incident ». Ce qui me fit penser que je n’avais même pas bien regardé la robe que j’avais acheté dans cette fameuse boutique, antre de nos luxures. En sortant le vêtement du sac, une petite carte tomba. Il y avait inscrit ceci :

« Revenez demain matin à 9h30. Je vous attendrai »

Je pris d’abord cela pour une blague.

— Tu crois qu’on devrait y aller ? me demanda mon chéri.

— Je ne sais pas trop. Pourquoi crois-tu qu’elle nous demande de revenir ? Si c’est pour nous faire la leçon, et nous dire que nous sommes interdits de séjour dans le magasin. Je n’en ai pas très envie.

— Oui, mais…

— Mais quoi ?

— Et si elle nous demandait de venir pour autre chose.

— Tu penses à quoi ?

— Peut-être qu’elle a aimé ce qu’elle a vu, et qu’elle veut une séance privé.

— Tu crois ? Vu son air pincé de mère supérieur, je ne suis pas convaincue de ta théorie.

— Si elle avait voulu nous passer un savon, comme tu dis, elle l’aurait fait devant tout le monde. Non moi je pense qu’elle en veut encore.

— Le seul moyen de savoir c’est d’y aller.

— Ah, je savais que je pouvais compter sur toi.

Le lendemain matin, nous arrivâmes donc à l’heure prévue. La gérante nous attendait. Elle demeura muette, et ouvrit la grille du magasin, qu’elle referma aussitôt une fois à l’intérieur. Le magasin était immense lorsqu’il était vide. Je ne m’en étais jamais vraiment rendu compte. L’atmosphère elle-même était différente.

— Suivez-moi ! Ordonna-t-elle

Nous nous exécutâmes. Elle nous emmena sur le lieu même du crime, dans la même cabine.

— J’ai beaucoup aimé votre petite scène d’hier. Et j’ai très envie d’une petite représentation privée. Alors vous allez faire tout ce que je vous dis. D’accord, sinon je vous signale à la police. Vous voyez ce que je veux dire ?

— Ok, répondis-je.

— D’abord tu vas le sucer comme hier.

— Bien.

Voilà que maintenant nous étions les jouets de cette bonne femme. Incroyable. Mais nous obtempérâmes. Les séjours chez les flics pour attentat à la pudeur, on connait. Pas envie d’y repasser. Je me mis donc à genoux. Mon chéri bandait déjà. A croire que la situation l’excitait. Je suçais comme une cochonne pour faire plaisir à la madame. Son gland perlait déjà, et je pris un malin plaisir à le lui titiller du bout de la langue.

— C’est bien, tu as l’air d’être une très bonne suceuse. Vas-y bouffe-lui toute la bite, ne te gêne pas. Caresse ses couilles, elles s’ennuient.

Tandis que je m’affairais, elle commença à se déshabiller elle aussi. Elle sortit à l’air sa poitrine énorme. Elle écarta les cuisses, nous montrant une petite chatte bien mouillée déjà. Elle se caressa les tétons en gémissant.

— Maintenant tu vas te mettre à quatre pattes, et offrir ton petit cul. Vas-y, sodomise-la, elle a l’air d’en vouloir.

Je me mis en position. Mon ami ne demandait que ça, la sodomie il adore. Il me doigta doucement l’anus pour préparer le terrain. Il faut dire qu’il jouit d’une énorme bite. Ce petit va-et-vient de son doigt dans mon cul, me fit chavirer. La vendeuse avait l’air d’adorer ça, à tel point qu’elle s’enfonça elle aussi un doigt dans le cul.

D’un coup sec, mais habile, il m’empala. Il me fourra avec vigueur, je hurlais à chaque mouvement.

La vendeuse n’en pouvant plus, elle vint s’installer près de moi. Elle m’ordonna de lui lécher la chatte, en même temps. Elle mouillait comme une vraie salope. Je lui léchais donc ses grosses lèvres gonflées par l’excitation. Mon cher et tendre semblait apprécier le spectacle, tant et si bien que je sentais sa bite prendre un peu plus d’ampleur.

— Tu es une bonne suceuse, aucun doute là-dessus. Fais-moi jouir.

Je titillais donc son clitoris, qui avait triplé de volume depuis le début de mes caresses buccales. Je suçais donc le petit appendice, pour la mener au summum des plaisirs, tandis que mon ami redoublait d’ardeur dans mon cul. Je sentais moi aussi monter l’orgasme. Et dans un triple râle mémorable, nos trois appétits furent comblés en même temps.

Nous nous rhabillâmes, et la vendeuse partit sans un mot vers son poste. Nous descendîmes tranquillement les escaliers qui menaient vers la sortie. Elle allait nous ouvrir la porte.

— Avant de partir, pas un mot de tout ça, et ne remettez jamais, j’ai bien dit jamais les pieds dans mon magasin. Ce que vous avez fait hier est inadmissible. Ai-je été clair ? dit-elle sur un ton supérieur.

— Euh oui.

Et jamais, je dis bien jamais, nous ne remîmes, les pieds dans ledit magasin.


[gris]Milkyr[/gris]


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Commentaires (1)

  • Virginie

    Heureusement qu’il y a ce rebondissement avec la patronne matrone, à partir de là ça prend tournure...