Pierette

Le 31/03/2009

En ce moment, j’ai un amant qui a l’âge de mon fils.

Je sais que ce n’est pas très bien et parfois ça me fait rougir rien que d’y penser. Je me dis que si mes enfants devaient un jour le découvrir, ça ferait toute une affaire et je ne sais pas si j’oserais encore les regarder en face. Quoique ! Après tout. Est-ce qu’à mon âge, je n’ai pas le droit de m’envoyer en l’air ? Est-ce que mes pauvres petits n’auraient pas le droit de savoir que j’ai des orgasmes et que les fesses de leur mère font encore (bien) bander un jeune homme ?

De toute façon, c’est tellement bon que je ne suis pas prête d’arrêter. Alors je fais juste très attention. Quand je vais chez lui, je regarde dans mon dos pour voir si personne ne m’a suivie. J’entre dans son immeuble avec la crainte de croiser quelqu’un que je connais chevillée au corps, mais bon, c’est certainement ça que j’aime et une fois ce moment passé, ça va mieux et c’est autre chose qui me tient au corps. C’est l’envie de faire l’amour, tout simplement.

Souvent, quand je vais le voir, on commence par s’embrasser derrière la porte, juste après que je sois rentrée. Ensuite, on glisse le long du mur et je le laisse passer sa main sous mon corsage et sous ma jupe. C’est tellement bon, sa main sur moi. Quand il me le demande –il m’envoie un texto juste avant que j’arrive-, je ne porte pas de culotte, comme ça il peut m’enfiler un doigt très vite et ça me fait grimper. Je ne dis jamais non. Une fois, il s’y est pris un peu tard pour son texto : je l’ai reçu dans l’ascenseur, mais je n’ai pas hésité un seconde. J’ai soulevé ma jupe, et hop ma culotte. Pierrette ! Tout de même.

Maintenant que j’ai un peu l’habitude, c’est moi qui prends les devants. On s’embrasse et j’ouvre son pantalon. J’y fourre ma main. J’attrape sa queue et je la sors. Ca le fait gémir, mon bel amant. J’ai tellement bien compris qu’il aimait ça que je m’applique. Je le branle debout contre le mur, en serrant bien fort tout en faisant attention de ne pas irriter le bout de sa queue parce que c’est fragile, mine de rien, ces choses là. Quand je fais ça, je ne travaille pas pour moi, mais ce n’est pas grave : ça me fait plaisir de lui faire plaisir et de toute façon, celle qui n’a jamais goûté à cette expérience incroyable de branler un homme ne peut pas comprendre ce que l’on ressent. C’est le sentiment d’être maître de son plaisir et d’être la femme la plus désirable du monde. Je tire légèrement sur son sexe et il me suit docilement. Il n’a pas le choix, c’est moi qui commande et on glisse ensemble jusqu’à la table du salon. Il s’assied sur le rebord, je fais glisser son pantalon sur ses chevilles, il pose ses deux mains de chaque côté de lui et je sens son corps qui se raidit.

Ca lui fait un beau ventre et souvent, mon beau matou, il aime bien croiser les jambes, fermer les yeux et rejeter sa tête en arrière. Il fait comme il veut ; moi je suis debout contre lui et je continue de le masturber en l’encourageant avec des petits mots doux. Je lui dis : « C’est bien, mon beau matou », « Tu as une très belle queue, j’adore te faire ça », « Laisse-toi aller, c’est quand tu veux ». C’est quand il veut et c’est aussi un peu quand je veux parce que maintenant, j’ai vraiment le coup de main. Je sais que si j’accélère et que je presse un peu, ça le fait venir. Une fois seulement, j’ai du m’agenouiller et le prendre dans ma bouche pour provoquer les choses, une seule fois. Toutes les autres, je l’ai branlé debout en m’appuyant contre lui et à chaque fois, je l’ai entendu me dire « Ah, Pierrette, je vais jouir ». Et quand il gicle, il dit « Ah Pierrette, tu me fais jouir ! ».

C’est merveilleux un garçon qui gicle. Il y a sa queue toute dure qui a l’air de vouloir s’arracher de son corps. Je la sens dans ma main, je sens ses élancements et je vois son sperme qui sort par grandes giclées et je vois mon beau garçon qui est prêt à s’effondrer quand il se relâche. C’est moi qui ai fait ça. Moi toute seule. J’ai fait gicler un grand gaillard comme lui et franchement, je peux dire que j’en suis fière, parce que des belles branlettes aussi appliquées et pleines d’amour, je ne suis pas sûre qu’il en a eu droit à beaucoup. Pour le faire, il faut une certaine dose de courage et même d’abnégation. C’est un peu comme si j’avais fait atterrir un A320 seule aux commandes. Il y aurait des gens dans la salle, ils applaudiraient. Je ne dis pas que je suis un as du manche, mais y’a un peu de ça !

Quand j’ai fini de le branler, debout contre la table, je garde sa queue un moment dans ma main pendant qu’on se calme et elle finit par se replier tout doucement. C’est tellement mignon. Il y a des tâches de sperme sur le sol, il y a mon beau garçon qui est la tête baissée à se demander ce qui lui est arrivé, et moi j’en arrive à trouver ça romantique. Mon beau matou qui aime qu’on lui caresse la queue ! Ensuite, c’est le moment que je préfère. Je le lâche et je m’avance en sautillant à travers le salon, toute guillerette, une vraie petite Pierrette. Je dézippe ma jupe, je la fais tomber, je me retourne et je le regarde en prenant un air sévère.
- A ton tour, maintenant, je dis. Et je compte sur toi pour me faire bien jouir !

Nicolas