Le feu rouge

Le 12/04/2009

Nous rentrions en voiture avec mon mari d’un dîner chez des amis. Il était près de deux heures du matin. A Paris, il faisait très chaud en ce mois de juillet, j’ouvris donc ma fenêtre pour sentir l’air frais sur mon corps. Je portais juste une petite robe en mousseline décolletée. J’avais peut-être un peu trop bu.

Nous roulions tranquillement sur les boulevards, le feu passa au rouge et un scooter s’arrêta à côté de nous.Le jeune homme me fit un large sourire, auquel je répondis aussi… il avait un regard brillant et insistant, et il était jeune et beau. Il roulait à la même vitesse que nous et au second feu, il me dit que j’avais un beau décolleté, qu’il aimerait bien en voir un peu plus. Je rentrais dans son jeu en lui dévoilant mes seins qui pointaient déjà... Mes tétons devinrent durs immédiatement.

Nous redémarrâmes et au troisième feu, il me demanda si j’avais une culotte. Je lui répondis, en soulevant ma jupe et en mettant les pieds sur le tableau de bord, que... je n’avais rien... je sentais déjà mon sexe se mouiller, mon clitoris sortait… j’étais très excitée. Il regarda mon sexe lisse avec envie. Le feu passa au vert et nous nous élançâmes. Je me mis à me masturber dans la voiture, mon mari me regardait, étonné. Le jeune homme roulait à nos côtés en me regardant, et plus il me regardait, plus cela m’excitait. Le vent frais rentrait dans la voiture et caressait mon sexe, je me sentais bien. Deux hommes à mes côtés pour me regarder. L’ivresse montait en moi ainsi qu’une envie de plaire et de donner. Nous arrivions à un autre feu rouge et le conducteur du deux roues me demanda s’il pouvait toucher mes seins et mon sexe. Je lui répondis que oui alors il retira son gant et sa main chaude se promena sur mon corps. Je ne tenais plus... Sa main par la fenêtre ne me suffisait plus. J’avais envie de le toucher moi aussi. Mon mari m’observait, silencieux, avec un sourire complice.

Je mis mon siège en position allongée, pour mieux me masturber et je mouillais mes doigts pour les introduire dans mon vagin… je ne savais absolument pas ou je me trouvais, et peu m’importait, je voulais savourer l’instant. Le jeune homme nous proposa de le suivre dans un parking souterrain du quartier. Nous descendîmes jusqu’au dernier sous-sol. Arrivé dans cet endroit en béton, au milieu des voitures, il retira son casque et son blouson. Il était beau et bien fait. Je restais dans la voiture et il s’approcha… je lui ouvris sa braguette. Son sexe bandait, d’une très belle ampleur, et je ne pus m’empêcher de le sucer à pleine bouche… il me caressait avec ses mains douces et chaudes. Puis il me suça avec délicatesse, passa ses doigts dans tous les recoins de mon corps. Je ne sais pas si le plaisir venait de lui, de l’instant ou de l’endroit si insolite. Je me mis à jouir si fort que mes cris résonnèrent dans le parking. Mon mari sortit son sexe pour que je le suce aussi.

J’avais envie d’aller jusqu’au bout, alors je demandai au jeune inconnu de me prendre. Il sortit un préservatif de sa poche. La pénétration fut vigoureuse et longue, mon mari me masturbait en même temps. Moi, bourgeoise des beaux quartiers, je me faisais prendre dans un parking par un petit jeune... et je jouissais très fort, en phase avec mes fantasmes. Nous nous rhabillâmes en riant tous les trois de la situation et du plaisir qu’elle nous avait procuré. Il me donna son prénom et son numéro de téléphone pour que nous l’appelions si un jour on voulait recommencer. Mais, c’était juste un plaisir de l’instant présent… qui nous laissa des fantasmes plein la tête.

Ma puce

Commentaires (2)

  • Anonyme

    A qu’el homme chanceux d’avoir une femme a l’espri ouver
    c’est bien de realisé ces désir il faut profité de la vie pendent
    qu’il est tempt prené du plaisir Paul de quebec Canada

  • gehu

    j’ai lu souvent ces histoires, je n’en reviens pas que cela puisse se passer aussi facilement. je vous remercie de partager ce moment et je dis que votre mari avec bcp de chances d’avoir une femme aussi ouverte à ce genre d’aventure.

    hug